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vous vous êtes déja faite peur?
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vous vous êtes déja faite peur?Salut la gang ! Ça serait le fun que tous comptent des évenements qui vous est déja arrivé qui vous ont fait peur depuis que vous volez et en même temps ça serait bon d'apprendre des expériences de chacuns car c'est moins dangeureux que de les apprendre par nous même...
dernièrement je revenais de Rimouski, la nuit, direct GPS pour Saint Frédéric et il ya une bonne distance qu'il n'y a pas beaucoup de civilisations, et il me restais environ 1:30 d'essence dans l'aile gauche et pas beaucoup dans l'aile droite. Et comme les gauges ne sont pas vraiment précis, je voulais changer de réservoir mais je m'étais dit que j'attendrai encore un peu. Et un peu après, quand j'étais à penser à quelque chose autre, le moteur s'est presque arrêté et j'ai changé de tank sans hésiter...Sur le coup, l'adrénaline a monté ,car la nuit, c'est moins evident de faire un attérissage en campagne... J'ai eu une petite peur même si je savais exactement pourquoi le moteur arrêtait... C'était la premièrement fois que ça m'arrivais même si je me demandais que se passerait t'il si je n'ai pas le temps de changer de tank avant qu'il n'en reste plus dedan ? Le moteur arrête t'il completement? Maintenant je le sais et certains entre vous aussi qui ne le savais pas... P.S. C'est quand même mieux de changer de réservoir avant que ça arrive... Claude
Bonjour Claude,
C'est arrivé il y a quelques semaines, à mon 2 ième vol d'entraînement. Mon instructeur me passe les commandes, me demande de grimper à 3000 AGL et de me mettre en palier à la vitesse de croisière. Je m'exécute, tout va bien. Il me fait remarquer que j'ai oublié de "leaner" le mélange. Je m'exécute et je "lean"............ un peu trop . Vous devinez le reste. C'est vrai qu'il fait chaud quand le ventilateur arrête On a redémarré sans trop de problème mais j'ai eu les mains moites et les jambes molles jusqu'à la fin du vol. Assurémment mon moment le plus stressant en vol jusqu'à maintenant. Le bon côté de cette mésaventure, je sais maintenant comment "leaner" correctement.........tout en douceur Sylvain P.S.: Aujourd'hui, j'ai fait mes premiers décrochages avec et sans moteur. J'ai aimé . J'ai eu ma première démonstration de spirale. Ça va aller J'ai eu droit à une première démonstration sur la manoeuvre d'évitement de collision........... Pas sûr
Aujourd'hui j'ai eu un probleme avec un C150
En vol, lors d'un vol Saint-Hubert -> Rockcliffe ma baterie a commence a se dechargee. Mon PTT ne fonctionnait plus, mon transpondeur s'affaiblisait et ma radio aussi. J'ai du faire demis-tour pres de Beauharnois. J'ai ferme tout ce qui etait electrique. J'ai atteri sain et sauf. Vous pouvez ecouter les communications avec le terminal et mon avion GAJP ici : http://www.liveatc.net/.archive/cyul/CY ... 5-0800.mp3 minutes : 9,10 - 12,35 - 15,10 - 15,20 - 18,30 - 19,10 - 21,09 - 23,10 ____________________________________________________________ A tous : On aprend de nos erreurs et celles des autres... Merci de partager! PS: J'ai un clavier anglais
vous vous êtes déja faite peur?moi aussi en juillet au décollage mon réducteur a lacher j'ai peter mes 2 gears j'étais a 200 pieds je vous jure que j'ai danser le St Guy gratuitement mais mon histoire ses bien terminer avec un bel attérissage en douceur pas de moteur.Ouff. je crois bien que sa meme sentie un petit peu. Je viens tout juste de reprendre le vol dimanche passé $$$ et j'en suis tres contant. Jocelyn C-IGKR
Ouin, moi, il faisait trop noir!Moi la fois que je me suis fais peur, c'est en 1994 alors que je faisait un vol voyage en ultraléger entre St-Jean Chrysostome -> St-George de Beauce -> St-Lambert de lévis -> St-Jean Chrysostome. en arrivant à St-Lanbert, j'ai arrêté à l'aéroport pour appeler mon instructeur à St-Jean et lui demander si j'avais le temp de revenir avec la noirceur qui arrivait. Il m'a répondu que oui mais de me dépêché car j'approchais de la limite de vol de jour et en plus j'était "nordo". Donc je repart de St-Lambert vers St-Jean Chrysostome. Un vol d'environ 15 - 20 minutes à cette vitesse. Cependant il faisait finalement tellement sombre que j'ai commancé à`chercher la piste car je me croyais arrivé mais je ne l'était pas!
Finalement, à mon arrivé, c'est mon instructeur qui avait pris les clés de mon char que je lui avait laissé et il l'a mis en bout de piste avec les hautes allumés pour me permetre de voir la piste! Laissé moi vous dire que j'ai fais un atterrissage direct sans trop de circuit! J'en ai été quitte pour une frousse qui m'a enlevé le gout de voler pendant 11 ans! J'ai recommancer à aller faire des tours d'avion seulement cet été! Finalement 11 ans sans même approcher un avion! Un truc lorsque l'on ce fait peur est de combatre sa peur en retournant voler le plus tôt possible. Bye et à plus! Eric Tremblay
Pas eu bien le choi c'est moi qui a hérité du "Ferry Fligt" pour Beloeil, mais peut garantir que c'est pas moi qui vas le sortir de Beloeil,du moin pas tout seul , ou si c'est le cas y vas faire un moyen de boute ben haut avant qui redescendre question de l'apprivoiser le pur-sang un peu têtue...
Martin
C'est normal qu'on se fassent peur et oui si la peur arrête c'est là que ça deviendra dangeureux... Un autre fois, je revenais (encore la nuit) et le ciel etait clair sauf que 10 milles autour de Sain Frédérique il y avait un nuage pres du sol, donc je suis arrivé au dessus, et j'ai du viré vers Québec pour voir si c'était j'usqu'au sol... Arrivé vers Saint Lambert c'était la fin du nuage et je suis déscendu pour passer en dessous (1800pi de plafond) et il y avait beaucoup d'humidité les vitres embuait et quand je suis arrivé au dessus de la montagne a st fred, ça brassait enormément avec un bon vent de travers... Je me suis demandé ce que je fesais la... J'ai bien attéris quand même mais j'ai réchauffé Ha ha
Claude.
Effectivement, il n'y a rien de plus vrai: "La témérité tue, la crainte te garde en vie" Sylvain
Bonjour,
Pour répondre à Virtumag qui a dit: "je me demandais que se passerait t'il si je n'ai pas le temps de changer de tank avant qu'il n'en reste plus dedan ? Le moteur arrête t'il completement?" Je vole un appareil de construction amateure: un Piel Diamant avec 2 réservoirs d'aile et un autre dans le fuselage entre le tableau de bord et la cloison pare-feu. Le sélecteur me permet de choisir entre: les réservoirs d'ailes qui se vident simultanément ou le réservoir du fuselage. Je décolle toujours sur le réservoir le plus plein, et en vol j'utilise d'abord l'essence des ailes. Au début je surveillait fébrilement les derniers litres des réservoirs d'aile. Puis, bien sur, j'ai manqué d'attention et ce fut le silence!.. J'ai rapidement tourné le sélecteur. le moteur a continué à tourner, j'ai pardu quelques pieds (moins de cent) et au bout de sept longues secondes le moteur a tout simplement repris son régime normal, sans plus. Depuis ce temps je ne m'inquiète plus et utilise toute l'essence de ces réservoirs. Par contre j'atterris toujours sur le réservoir du fuselage (le plus plein) Mais de nuit, j'éviterais probablement de rendre à sec les réservoirs d'aile, histoire de garder le poils couchés sur les bras! J'ai même fait du planeur à partir de 9500 pieds jusqu'à 2500 pieds au dessus de la piste ou mon appareil est basé. Pour y arriver il faut ralentir la vitesse à 70 mph pour que le moteur s'arrête. Il va se remettre à tourner (une compression à la fois) vers 120 mph. Ces données concernent mon moteur qui est un Lyc. 0-320. 150 hp. Salutations Dernière édition par J.C. le Mar 01 Nov, 2005 21:40, édité 1 fois.
Bravo treer1 ! Je me rappelle aussi la premiere fois que j'ai parti la nuit tout seul pour sherbrooke et quand je suis revenu je fis confiance au gps de l'avion et je n'avais pas ma carte pres de moi et le gps a manqué....j'ai gardé le cap, il y avait un vent de travers et je cherchais au sol un village que je pourrais reconnaitre mais en vain...Ils se ressemble tous ! Finalement, j'ai appercu la riviere chaudiere et j'ai pu me retrouver...Conclusion: toujours savoir ou nous sommes et avoir la carte proche...Pourtant je le savais mais...
Je n'ai jamais eu vraiment peur, car je me suis toujours arrangé pour ne pas me mettre dans le pétrin jusque là. Je suis revenu en avion avec les lumières low fuel allumées, mais je savais combien d'essence il me restait, et je n'étais pas en zone inhospitalière non plus. Inutile de dire que maintenant j'ai toujours du fuel en masse.
Une seule fois, je suis sorti de mon avion en tremblant, mes jambes ont vacillé sous moi, et cette fois là, j'ai pris une grande décision. Comment, où, avec qui/quoi et quand, ça je le garde pour moi. Mais je peux vous dire que quand il fait mauvais, c'est vraiment le fun d'être assis dans le hangar à regarder l'avion...
2 bonnes fois, La première, en revenant du Lac à tortue je sais que mon essence est un peut basse, alors je me mets sur mon réservoir de droite.
à 25 nm. ça commence a rotter, je switch immédiatement sur le gauche je suis a 3000' de haut puis à 5 nm du lac je ne voit plus d'essence dans mon tube et quand j'ai vu celà du coté droit il m'a rester environ 2 nim , alors je choisit de réduire les gaz à 50 % et d'entreprendre ma descente au lac avec mon meilleur taux de plané à 65mph. Je me suis rendu et en taxiant pour mon quai, seulement 1 minute environ, mon moteur a callé et je me suis rendu sur l'air d'allé Deuxième fois, en allant au Gouin, je décide d'aller par dessus les nuages qui sont environ 3 sur 8 cependant en un rien de temps ça se bouche, pas évident de passer au travers sans horizon artificielle, c'est 5 -6 secondes infernales, puis pour terminer mon voyage à 2 nm de mon camp il ne me reste qu'un lac à traverser pour ma ptite baie, un orage du type Gouin m'arrive droit devant, visibilité 0 et le ciel devient la même couleur que l'eau du lac, pu de point de référence visuelle tout est pareil, et en plus le pare brise est full blasté par l'eau, du coin de l'oeil de mon coté je peux encore appercevoir quelques épinettes au bord de l'eau, je tourne full pinne en tirant sur le manche en descendant à grande vitesse ( ça presse ) puis le long du rivage je me choisit une ptite place pour atterrir ou il y a pas trop de vagues car ce n'est pas un Beaver mon coucou et '' Osti '' il y a un bateau maison drette dans mon point de contact, je retiens le manche une seconde de plus puis me pose juste devant, ouff! il vantais tellement fort que j'ai taxier de reculon'' Idle'' pour me rendre au camp sans flipper. Rendu au bord, j'ai du taxier 30 minutes sur place en attendant que ça se calme car j'aurais petter les ailes dans les épinettes. C'est fou quand on est loin et que l'essence diminue et qu'après un leg de 4 hrs les décisions ne sont plus facile à prendre et l'on doit parfois faire des choses que l'on ne devrait pas faire mais on a passer le point du non retour et il faut se débrouiller rapidement. Aujourd'hui je tente d'éviter ces situations longtemps avant qu'elles ne se produisent, mais de voler dans des régions inospitalièreset isolées ce n'est pas toujours prévisible.
Tu vient d'me faire passer l'envie des flottes Martin
Salut, tu l'as dit le meilleur est d'éviter ces situations, mais c'est pas toujours comme on pense. Tu seras pour moi une référence pour savoir quoi ne pas faire et quand ne pas faire, on s'en reparle bientôt, Yvan
En parlant de frousses
Dimanche vers 11h35-12h00 à CYHU un beau Mooney avec 3 membres à bord, qui vennait de débuter sa course au décollage a eu la surprise d'avoir sa porte à bagages s'ouvir sur le TO run, ça ça doit faire faire un saut! Ils ont réduit les gaz, sorti à la prochaine sortie et une fois rendus sur le tarmac chez ATL l'ont refermé. J'ai déjà eu un fenetre s'ouvir sur un 172 et sur les premières seconds, ça surprends! Sorin
Bien je ne suis pas gêné de vous parler de mes gaffes, car si je peut faire en sorte qu'un pilote en prenne conscience et puisse éviter mes erreures et bien mission accomplie.
C'est certain qu'en pilotant 100 hrs et plus non commercial dans les régions éloignées , il arrive beaucoup de situations imprévues, et que si l'on ne fait qu'en jaser au restaurant on ne prendra aucune expérience pratique, et si l'on attends toujours le beau temps pour voler alors l'on ne voleras pas beaucoup. Pour ma part j'ai fait environ 125 hrs encore cette année et je me sert de plus en plus de mes expériences et j'Écoute le plus possible les pilotes plus expérimentés. Cette année je ne me suis pas retrouver dans des circonstances de fou, oui quelques fois un peut difficiles mais toujours dans les limites du sécuritaire. Quand l'on part en brousse pour 3 ou 4 journées à 4 hrs de vol de notre base, et qu'a cet endroit aucune possibilité de rapports météo à part de jaser à d'autre pilotes en vol, la météo peut changer au cours du retour et on se doit de se servir de tous les info possible, je pense sérieusement à acheter un tel Satellite avant même un horizon artificielle, car si je connais la météo je n'aurais pas à la combattre et si je suis trop bien équipé , vais-je forcer encore plus ??? Mon instructeur m'avais avisé que notre pire ennemi en aviation étais la météo et je le crois maintenent.
Flyrom en effet ça doit surprendre, une fois j'embarque un chum un peut nerveux, après un bref meeting avant le décollage on part pour une balade.
Au décollage, en montée, il s'agrippe sur la poignée de la porte et tire comme pour se retenir, sur un Bush Caddy la porte s'ouvre de bas en haut alors il a eu une méchante surprise, vive la ceinture pour se rassurer.J'ai continuer ma montée puis pour refermer sa porte j'ai effectuer une légère glissade de son coté pour me servir du vent pour rabattre la porte, car en vol droit impossible de la refermer vu sa courbure extérieure qui crée une portance d'ouverture. Il y a eu tout un ménage dans mes cartes et mes gugus non ammarées convenablement
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