J'ai déjà perdu la fenêtre de porte du passager en plein vol. En ouvrant la fenêtre pour prendre une photo, la fenêtre s'est complètement arrachée avec le cadre, mettons que ça surprend un peu.
Je lisais cetains commentaire concernant une des ailes qui est vide d'essence ou qu'on est short en gas. J'ai déjà eu une panne d'essence, j'ai du attérir dans un champs et tout s'est bien passé, une chance. Depuis ce temps là, un gars averti en vaut deux, je peux vous dire qu'à chaque fois que je décolle ou presque je suis full de gas ou presque et ce même si je dois faire le plein en dehors de heures je paie volontier les frais supplémentaires, ma vie vaut bien plus qu'u p'tit 50 piastres.
Bye!
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vous vous êtes déja faite peur?
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T'as raison Cardinal , C'est quoi 50.00$ pour avoir l'esprit tranquille ¨ca m'arrive aussi car j'ai fait environ 250 heures (privé) cette année et j'ai plus d'heures de nuit que de jour donc souvent j'ai besoin de carburant apres les heures d'ouverture...
Claude
J'ai eu les deux, pour le Bush Cady lui ça surprend en maudit ,mais pour la porte a baguage du Mooney,si Jean François a Joliette ne me l'avait pas dit sur les ondes , pas sur qu'elle serait encore la ,meme la passagere arriere ne s'en est pas rendue compte.
Martin 
Une petite frousse
Une autre de mes petites frousse est arrivé à mon premier vol solo en 150. C'était à trois-rivière en 1991 et lors de mon premier solo, mon instructeur fait quelques posé-décolé avec mo et lors d'un des posés, l'instructeur me dit " OK, laisses moi ici et repart seul". Je le laisse donc en plein millieu de la piste près du seuil et je repart. Je met le moteur full trottle et je commence à rouler. Que ne fut pas ma GRANDE SURPRISE de voir la fenêtre du passagé aller claquer dans l'aile dès que je commence à lever! Ouin toute une expérience pour se souvenir de son SOLO!
Je re descend donc au sol ... il me restait encore le 3/4 de la piste. je referme la fenêtre et je redécolle. En tout cas, j'ai fais un maudit saut! Eric Tremblay
Juste avant de m'envoler, je crie à haute voix "Ceinture attaché porte fermée." Même quand je suis tout seul". Quand j'ai des passagers, même s'ils sont familiés avec ça, une fois sur trois, y'en a un qui n'a pas attaché sa ceinture ou mal fermé sa porte. Alors j'ai pris cette habitude. Je crie. Ça libère en même temps que ça attache...
Gaston
Pour ceux qui volent la nuit : volez vous à proximité des grandes routes au cas d'une panne moteur ou si vous ne vous en faites pas avec ca?
Pour moi, je vole plus haut que dans le jour(si les plafond me le permettent) et je vole pas tres loin des routes..Ex: si je pars de Matane pour Saint Frédérique, je suis la "20" j'usqu'à Montmagny et à partir de là directe gps tout en cherchant sur mon gps et visuellement les routes en cas de besoins... Une fois je suis parti de nuit de victo à Val d'or, ciel couvert vfr, tu vois ni horizon(vive l'horizon artificiel)et tu vois pas une lumière pendant longtemps...si il ya une panne, tu descend, tu allume ton" landing light" et si tu n'aime pas ce que tu vois , tu le REFERME !!! haha! C'est pourquoi c'est mieux de prévenir en suivant les routes... Claude
Je vole toujours haut, mais la nuit, je ne change rien. Avec ce que je vole, si j'ai une panne, je vais détruire l'avion sur une route ou dans un champ, parce que je me pose train rentré pour ce qui est du Focke-Wulf, et le Caravan, avec ses 52' d'ailes, il est dur à rentrer sans rien briser dans le noir.
Si je m'en sors en marchant, c'est mission accomplie! Mais je ne souhaite pas l'essayer! 
Bon je me lance
C'est en 2003 à mon 2eme vol voyage solo pendant mon privé. Je fais CYQB-CYSG-CSE5-CYQB. J'ai refait mon check sur le 152 la journée même (Ça faisait au moins 3 mois que je n'avais pas volé.... travail oblige). Je part donc de CYQB, un peu nerveux... On dirait que les cadrans ne sont pas à la bonne place quand je descend les yeux pour les voir. Quand ça fait un petit bout que t'a pas volé, on dirait que tout est un peu plus comliqué. La journée est venteuse avec un beau ciel dégagé. Mon instructeur me dit en partant que si les vents sont trop fort à St-Georges, de seulement survoler la piste sans faire de touché..... Pffffffffff, s'il pense que je ne suis pas capable que je me dis. À mon arrivée à St-Georges, je m'annonce et suis les procédures pour un posé-décollé. Mon premier se passe bien, bien que les vents sont assez fort avec des raffales. Je décide d'en faire un autre et fais un autre circuit. Comme le train principal touche la piste, UNE RAFFALE....... La roue de droit se soulève et l'avion vient tout croche. Je réussis à garder le contôle de l'avion, à remettre l'avion droit (mais dans ma tête, l'aile gauche est passé à quelques pouces de toucher le sol). CARB HEAT OFF, pis on remet les gaz au PC. Pas besoin de préciser que la patate se faisait déjà pas mal aller. Les jambes un peu molles, mais ça va. Mais c'est pas tout, pendant la remontée, évidemment je suis nerveux et tire un peu trop sur les commandes (J'avais hâte d'être en haut) et BBBBBZZZZZZZZZZZZZZ ah! non, le stall buzzer. Une chance, je réagis rapidement et repousse les commandes (j'étais environ à 300 pieds AGL). Le buzzer s'arrête et je reprend de la vitesse. Ouf! Le reste du voyage s'est bien passé. Bien que j'avais le front et les dessous des bras assez humide. Mais j'ai pris ce vol comme leçon. Inexpérience, longue période sans voler, nervosité, météo à la limite de nos compétence, terrain non familier = DANGER Je me dis maintenant qu'un pilote conscient de ses compétences et de ses limites est beaucoup plus prudent et sécuritaire qu'un pilote qui ne l'est pas. Surtout quand l'expérience est limitée comme moi. J'aime mieux devenir un vieux pilote qu'un ex bon pilote. François
wow bonin141 ! Pas facile pour un nouveau pilot mais je crois que c'est dans ces circonstances que nous devenons plus prudent...Souvenez vous des premiere fois que vous attérissez avec un bon vent de travers...on pense par bout que ce n'est pas nous qui pilote mais l'avion qui décide... A Saint Fred: Montagne au seuil de la piste 23 , piste qui monte, des fois les deux manches a vents à chaques bouts des pistes qui pointent dans des directions opposés... Mais à toutes les fois on prend un peu plus d'expérience et d'assurance mais il faut connaitre ses limites et les limites de l'environnement (météo)...Vaut mieux regretter de ne pas voler que de regretter de ne pas être au sol...
Claude
J'ai pas encore beaucoup d'expérience de vol mais j'ai réussi une fois à avoir les jambes molles:
Moi ça s'est produit fin septembre quand je me suis entêté à aller voler sans regarder la météo. Je me suis dit tiens; une bonne pratique; un vrai cross-wind pas trop fort (au sol le vent était pas trop fort). Mais à cause de la ligne d’arbre le long des hangars à St-Lambert ça cachait le vent en altitude et ça faisait des micro rabatants au sol… Je m’élance, ma course au décollage est normale, aileron dans le vent, un peu de pédale et mon petit oiseau vole… jusqu'à ce que je passe la ligne d’arbre et que je réalise qui vente en cri&?%/! Là en montée initiale je me dit que je serais bien mieux chez moi et que c’est pour ça que personne vole aujourd’hui à l’aéroport !!! Tout à coup je fige, et puis je panique. Le vent (à 500 pieds du sol) est vraiment fort à peu près 40 mph et avec rafalles en plus, ça dépasse mes limites dans lesquels j’ai déjà pratiqué… Je change mes plans et décide de rester dans le circuit, pour revenir atterrir. J’ai le choix d’utiliser la 06 ou la 24, le vent est carrement crosswind… je décide d’utiliser la 06. À ma première tentative je suis déporté tellement loin (1/4 de mille) de l’axe de piste que j’overshoot. Je décide d’essayer la 24. 1er tentative, je fais un très très grand circuits, j’arrive à m’enligner mais en courte finale, y’a tout plein de cissaillement, encore une fois l’aiguille de mon airspeed se promène comme c’est pas possible, ça brasse trop pour que je me pose, la chienne me pogne encore et j’overshoot une 2e fois en 15 minute ! 3e tentative. Je fais un autre grand circuit et là je m’emenne en longue (très longue) finale en glissade avec de la puissance (2000 rpm) les ailerons dans le vents, du côté gauche, le rudder du côté droit, je stabilise à 80-85 MPH et je m’emmenne bien dans l’axe, décidé à me poser. En courte finale, ça brasse ! 
À ce moment là je me suis dit que j’étais 30 mph au dessus du stall speed, donc j’étais safe. Le vent pouvait pas me jouer de tour à cette vitesse là. J’ai poussé sur le manche dans les derniers pieds pour gagner encore un peu de vitesse, et une fois dans l’effet de sol, j’ai pu ramener les ailerons au neutre et me concentrer sur mon arrondi, j’ai flotté longtemps mais j’avais le contrôle sur la machine. Un gros 24 minute de vol qui m’a parru une éternité. Je me suis couché en arrivant à la maison, j'étais brûlé…
-Fred
Eh bien bonne ,j'vais la retenir
Martin 
A la demande de Martin(Snowman) je vais rendre public l'aventure du Cirrus.A ma demande,Cirrus m'a envoyer un pilote avec un appareil pour que je puisse évaluer cet appareil.Le pilote venait de New-York et il devait être a Joliette pour trois heures en après-midi et il a finalement arrivé a 7hrs p,m.Après un briefing sur l'appareil il invite mon épouse et moi a monter dans l'avion.Nous décollons pour faire un vol d'essaie et je suis aux commandes.Après 30 minutes de vol le pilote me demande s'il y a un aéroport a proximitée de façon a faire quelques atterrissages.Je lui suggère Sorel et il prend les commandes pour faire le premier atterrisage.Nous passons centre piste pour joindre un vent arrière gauche 23.Tout va bien et j,informe le pilote de la longueur de piste.Il me dit qu'il n'y a pas de soucis que le Cirrus se pose dans très court.Nous tournons en final,il fait noir et nous sommes toujours a 1200 pieds sol.J'informe le pilote que jamais je pourrais faire poser un Mooney de cet hauteur avec la distance qu'il reste.Je vois que le pilote semble songeur.Il plonge vers la piste,Gagna de la vitesse,fait son arrondie et flotte jusqu'au centre de la piste.Je m'attends toujours a une remise des gaz mais non,il applique les freins et nous décélérons jusqu'a la fin de la piste. Nous dépassons les lumières de fin de piste et finissons par arrêter.Nous sommes retenu par nos ceintures lors du freinage et il s'en aie fallu de très peu pour que nous terminions notre course dans l'herbe haute.Après un 180 le pilote m'informe qu'il a raté son atterrisage et je l'informe que je suis d'accord.Il me demande de redécoller en sens inverse,ce que je fais et retour vers Joliette.Mon épouse n'a pas appréciée ce vol et ce fut le sujet de nos conversations pour quelques jours.Voila Martin. Georges
Heille ! Le nombre de fois que je me suis fait peur en avion sur flottes ou sur roues, je pourrais ouvrir un site web là-dessus pour moi tout seul.
Mais, je vais vous en conter une bonne alors que mon copain J-C Lauzon venait d’avoir sa licence. 2 jours plus tard il loue un chirokee 140 chez ATL et m’invite à l’accompagner pour faire quelques circuits. Je dis oui, après tout, c’est moi qui l’ai convaincu de faire sa licence et il a été mon premier passager 2 ans auparavant quand je suis monté dans le nord avec ma vache volante (mon Cessna 172 sur flotteurs vs moteur 150 forces) pour la première fois. À ce moment là, j’ai environ 400 heures de vol. On décolle avec BBM, un petit 140 de mes amis sur lequel j’ai moi-même fait ma licence 2 ans auparavant. Le premier circuit va bien, mais le deuxième, c’est un atterrissage un peu long. On est à St-Hubert (qu’on s’est fait volé depuis... oubliez pas ça) et ça commence à se gâter. On perd notre enlignement avec la piste en finale, et on se dirige droit sur la tour, à basse altitude, genre 20 pieds, mais on est pas du tout au dessus de l’asphalte, le léger vent de travers nous déportant, et le buzzer sonne comme un damné pour nous dire que va y avoir décrochage dans pas grand temps, et c’est vraiment pas le temps. Je crie à Jean-Claude remets les gaz @$%&$_*$$%&@#. pendant que je pousse sur le manche pour éviter le décrochage immédiat. On évite la tour de peu et l’avion commence à prendre de l’altitude presque au dessus de la piste. Et pendant qu’on est en monté, J-C me dit “je pense qu’y va falloir faire laver les sièges! “ Jean-Claude a fini tout de même deux semaines plus tard par amocher BBM à St-Jean. Et à cause d’un atterrissage encore un peu long. Mais cette fois-là, j’étais pas dans l’avion. BBM peut, depuis ce temps, être vu au dessus du bar de la Cage aux Sports du vieux Montréal. Gaston
Une entre autre ,
Lors de mon instruction pour mon vol de nuit chez Pro a St-Hubert ,un apres midi , j'arrivas un peu plus de bonne heure dans le but d'aller me promener un peu avec le Katana étant donné que mon check étais encore valide et ainsi me dégourdir un peu . comme le 172 n'est pas la encore, j'allas me piquer une trail avec le Katana en attendant la noirceur . Au départ du moteur sur le Katana au "idle " pas de pression d'huile (le POH en sugère 20lbs) et au run up 25lbs(Le POH en sugere 45Lbs me semble) je ferme alors le tout pour aller voir les instructeur qui mon dit que c'étais normal vu qu'il était chaud  , pas de probleme, pis je pars avec ce "gocart", autorisé en monté en monté initiale je jeta alors un coup d'oeil au cadran, et me v'la ti pas que m'aperçois que l'aiguille de vacum fait des 360 su'l meme temp que je pedale en bicycle, a ce moment je ne vole pas vraiment souvent et j,me souvient pas trop a quoi s'qui sert c'te "crucifie" de cadran là  ,je jete un petit coup d'oeil a mon cadran de pression d'huile ,a pas monté non plus... 
a partir de là je m'imagine que ça vas toute se débatir c'te maudite poubelle là et chez pas si c'est rien que a moi que ça fait ça mais on dirais que quand tu t'imagine qui de quoi cloche ,des son bizares t'en entend un c..... de paquets...
Je demande a la tour pour me redescendre au sol au P.C. parce que je sens qu'ya quelque chose qui cloche, le controleur demande alors a gentile demoiselle avec un 150 devant moi de faire son circuit serré parce qui un katana qui s'en vient sur un chaud temp et qui fille pour attérrir. Elle s'éxécuta a la perfection,elle alla se revirer au dessus du mont St-Bruno ...pour revenir sur la 24 gauche, a ce moment la t'es un peu comme une "taure qu'on lache dans le pacage au printemp" tu c'est plus ou te garocher et en plus tu chie partout... Comme je n'etais pas bien famillier a St-Hubert a ce moment là (plusieurs piste, controlleur , etc) je vois que la petite madame va se tirer sur ce que je pense etre la 24 droite ,dans mon livre moi est pas a bonne place mais j'l'orai plus dans les jambre... pis je continu ce que je pense etre la 24 gauche et comme j'y étais autorisé, eh beh j'enligne par là ,jusqua temp que je vois un 172 qui revire devant moi...je fit une remise des gaz en meme temp que le controleur me donne un blast de marde je m'aperçois que la petite dame etais 24 gauche que moi j'étais 24 gauche version taxi way... apres un autre circuit je me posas en un seul morceau non non sans quelque sueurs dans le dos.
Mais là c'est pas toute quand chu revenu chez Pro ,tout le monde regardais par terre en faisant semblant de ne pas savoir ce qui c'étais passé, et un brave me dit qu'il avait quelqu'un qui voulait me parler a la tour et de lui téléphoner , apres une bonne minute de sermond au bout fil sans rien dire ( en quelque part y avait quand meme raison , et que quand couple quand tu fais un coup pendable le silence c'est l'or!,donc ferme ta gueule...) je lui demanda si c'étais fini... a mon grand désaroie le v'la ti pas qui recommence du plus belle... ça fini que j'lui ai dit que c'étais vrais que j'avais fait une erreur et que comme quelqu'un me la deja dit ,l'expérience est le fruit de nos erreur , et d'attendre a la deuxieme erreurs parreille pour me traiter d'innocent en prenant bien soin de racrocher aussi fast que je lui avait répond (je venais quasiment de débatir le téléphone) . j'me rappelle encore de ça comme si c'était hier , dans le lobby chez pro on auraient entendue une mouche passée...
Je fis signe a mon instructeur que le 172 étais là qui serait temp que je sorte de St-Hubert se soir là ( J'étais rouge comme une tomate  ), il me sugérra de venir prendre un café dans le lobbye pour décompresser ,ce qui fut une tres bonne idée.
Deviner ,c'est qui m'a autoriser pour mon vol en C-172, le meme que je venais de souigné au téléphone ... il me demanda en jocke si ma pression étais redescendu , j'lui répond qu'elle en farce qu'elle étais moin variante que celle du Katana, il m'autorisa a décoller , et mon dieu que ça allais bien un 172 2000 c'étais appaissant
Martin
Au tout début de ma license, je me retrouve à Bromont avec ma blonde pour un de mes premiers vols avec un passager.
Après toutes mes comm. et mon check, je me dirige au seuil de la 23 , à lors je m'élance, en avant de décoller un traffic s'annonce pour vent arrière pour la 23. Pas de problème dis-je à ma blonde , il est à coté de nous et il va aller par derrière pour se poser et nous on sera à ce momemt partis de la zone. En montée initiale, mon instructeur m'avais dit de toujours redescendre le nez du cessna un peut vers 1000' pour aider au moteur et pour jeter un coup d'oeil. Ce que je fit, en même temps le traffic s'annonce en final 23. En effet il est fourré et il est droit devant moi à environ 200' en descente sans même penser, je pousse les commandes et passe par dessous, il me blaste de marde ,puis je lui indique qu'il est sur la 05 ! en conflit avec moi. Le silence se fût..., du coté de ma blonde tout va bien , elle est habituée à se faire brasser en moto-cross avec moi, elle ne réalise pas vraiment que l'on aurait pu servir d'enquête pour le BST... Arrivé à CSU3 st -hyacinthe après mon atterrissage je remonte la piste vers le resto , à mi chemin, sans aucunes comm. un 2 moteurs se pose en passant par dessus moi Un Navaro noir... bien connu à cet endroit, Au Resto ma blonde me demande si c'est normal que ça passe aussi souvent aussi proche ! Je lui réponds Chez-pas 
Ha ha.. C'est ben drôle tout ça !!! Mais quand ça t'arrive y fais chaud et l'ego en prend un coup...
Lors de mon premier vol voyage en solo, je devais faire un posé décollé à Québec et je prenais mon cours à St Fred donc un des gros stress c'était les communications avec la tour et d'être dans la zone controllé, Et au début on dirais qu'on ne retrouve pas les aéroports visuellement du au stress... Donc tout vas bien, j'ai fait le premier contact avec la tour en lui disant que je suis élève et que c'est la 1ere fois que je viens en solo etle controlleur (tres gentil) me guide... Il me dit suis le boul de la capitale et tu vas voir la 24 au bout... rendu au bout je ne la voyais pas encore alors il me dit tres gentiment regarde en bas à ta gauche... elle ne pouvait pas etre plus grosse... tout c'est bien passé apres... Claude
En fin de semaine alors que je vais d'intégrer le vent arriere a Trois riv, un avion s'annonce en monté initiale 23, rendu a 5ou 6 cent pied y s'enligne vers le vent arriere ,jusque là c'est pas trop pire ,mais y s'en vient direct sur moi , j'le call sur le radio pour savoir si il m'avais en visuel,pas de réponse, j'essaie encore une fois pas de reponse non plus.
A c'te moment la y passe dret derriere moi pis ,la j'le vois pu,et comme un 172 fly beaucoup plus vite que moi, tu file pas pour te faire zigonner le cul par lui, pis là tu te dit que si yé sourd ,y peut bien etre aveugle y to ... pis tu deca.... du circuit pour couper ça cour ,pis ben ben cour . »Je le ressaie encore une fois de lui parler ,surprise y répond ,je lui demande si il avait vue un avion dans le circuit devant lui ,il me répond que non, il est passé a plus ou moin 200 derriere moi et ma "vache volante" comme dirais l'autre, chu éclairé comme un arbre de noel. J'essaie de comprendre comment il a peu ne pas me voir ,mais il est toujour conseillé d'agir en prévision d'une situation ou il ne nous vois pas. Martin
J'ai l'impression que nous confondons des peurs en avion avec des moments inconfortables.
De ces derniers, j'en ai eu des tas, dont la plupart en Cessna 208 quand je le ramenais des USA avec le vendeur pas-fin-qui-n'est-pas-un-instructeur-et-qui-me-chicanait-parce-que-je-ne-savais-pas-comment-voler-l'avion-puisque-je-n'étais-pas-encore-checké-dessus (ce nom est sur sa carte d'affaire, oui!). Faire une approche et s'attendre à un ordre de trimmer l'avion nose up, mais recevoir un "hold it down" à 30 pieds du sol, je vous l'assure, c'est hautement pas le fun, surtout quand on s'astine...
Ça dépend comment on est fait. Moi quand je deviens inconfortable, je me mets tout de suite à avoir peur. L'inconfort commence toujours par un rétrécissement du trou du "chose". Gaston
Ça, c'est sûr. Mais j'ai eu peur une seul fois, les autres fois c'était des moments tendus/incomfortables.
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