Les survivants de la guerre 1914-1918, ne sont plus que six en France, âgés entre 107 et 110 ans et ne sont plus, que quelques dizaines dans le monde. Ce Jour du Souvenir est oublié en Allemagne!
Les commémorations de ce souvenir sont souligné à Paris, par le Président Jacques Chirac, à l'Arc de Triomphe, venu s'incliner sur la tombe du soldat inconnu.
La boucherie de la guerre, 1914-1918, a emportée la vie de 9 millions de soldats et en a blessée 20 millions.
L'on ne peut oublier le poème du médecin canadien, John McRae, écrit durant cette guerre à l'extérierur de la ville de Ypres en Belgique, dont le texte est le suivant:
In Flanders Fields!
In Flanders Fields the poppies blow
Between the crosses, row on row,
That mark our place;and in the sky
The larks, still bravely singing, fly
Scarce hear amid the guns below.
We are dead, short days ago
We lived, felt dawn, saw sunset glow,
Loved and were loved, and now we lie in Flanders Fields.
Take up the quarrel with the foe;
To you from failing hands we throw
The torch; be yours to hold it high,
If ye break faith with us who die
We shall not sleep, though poppies grow in Flanders Fields!
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Le 11 Novembre 2005!
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Le 11 Novembre 2005!
Dernière édition par PAN AIR le Ven 11 Nov, 2005 18:21, édité 1 fois.
N'oublions pas les Canadiens morts au combat en 1939-1845, les Canadiens morts en Corée et les Canadiens tombés lors de missions de paix.
N'oublions pas les soldats alliés morts au combat en 1939-1945. Je me souviens.
N'oublions pas tous les militaires tombés au combat peu importe leur coté.
Ce furent des frères, des maris et des péres peu importe la couleur de la cocarde. Et dans le ciel c'était tous des pilotes, Chapeau! Je me souviens des sacrifices des uns et des autres.
Voici la version française du poême.
Dans les champs des Flandres Au champ d'honneur, les coquelicots Sont parsemés de lot en lot Auprès des croix; et dans l'espace Les alouettes devenues lasses Mêlent leurs chants au sifflement Des obusiers. Nous sommes morts, Nous qui songions la veille encor' À nos parents, à nos amis, C'est nous qui reposons ici, Au champ d'honneur. À vous jeunes désabusés, À vous de porter l'oriflamme Et de garder au fond de l'âme Le goût de vivre en liberté. Acceptez le défi, sinon Les coquelicots se faneront Au champ d'honneur.
À tous les 11 novembre, je me souviens d'un grand vétérant de la première guerre mondiale. "Mon Papa"
Il a aussi participer à la deuxième guerre mondiale en entrainant des soldats parce qu'un certain général lui a demander de partager son expérience de vétérant avec les jeunes recrues. Ma maman est intervenue auprès du général pour qu'il ne l'envoie pas au front encore pour ce deuxième conflit en menaçant le général en question de déménager dans son office avec ses 9 enfants jusqu'à la fin de la guerre s'il envoyait mon papa à cette guerre. Ma Maman avait beaucoup de caractère vous pouvez me croire. 
Merci Papa de m'avoir permis de voler en toute libertée dans ce si beau pays pendant plus de trente ans et j'ai toujours compris et respecter votre silence et votre tristesse. Je sais maintenant comment c'est difficile de perdre des compagnons et amis.
Jacques qui vous aime beaucoup Bon vol à tous et profiter vous aussi des sacrifices de nos vétérants. C'est leur plus belle récompense.
J'ai eu la chance en 2001 d'aller visiter la Normandie ou mon père était aller une soixantaines d'années avant moi, LA j'ai mieux compris les horreurs de la guerre..
merci aux Vétérants Hypcop
Jacques, c'est une belle histoire ça! Sais-tu dans quelles unités il a servi pendant les deux guerres?
Et Hypcop, as-tu plus de détails? Je suis très friand d'histoire militaire canadienne.
ont
Non Olivier, je ne sais pas dutout dans quelles unités mon père a servi durant les deux guerres. Il ne voulait jamais parler de ça. Tout ce que je sais c'est qu'il a embarqué sur un bateau à Halifax pour aller outre mer et que son bateau a coulé près des côtes de Terre Neuve et que ce sont des bateaux de pêche terneuvien qui l'on secouru et ramener à Terre Neuve. Je ne sais même pas le nom de ce bateau qui a coulé mais je vais demander à mes frères et soeurs s'il le vavent. Il est reparti pour l'europe un mois plustard sur un autre bateau et y est rester quelques années. La seule autre chose que Papa a raconter est que son ploton avait été cerner par les Allemends dans les tranchés et ils ont demeurer coincé pendant 7 jours dans cette tranché et qu'ils ont dû manger du cheval mort sur le champ de bataille car ils faisait des charges à la cavallerie à cette époque et que le cheval était très pourri, mais il fallait manger s'il voulait survivre. 
J'aimerais bien trouver le nom de ce bateau moi aussi et en apprendre plus sur le service militaire de mon père. Jacques
Salut Olivier, mon père a servi dans le Régiment de la Chaudiere, ce Régiment a été former à la fin de la guerre. Mon père s'est enrolé à 16 ans (en faussant ses papiers) et à 17 1/2ans il était Outre Mer.J'ai à la maison plusieurs photos de son entrainement dans l'ouest Canadien avant le départ, ca semblait pas très drôle.
Lorsque je suis allé en Normandie, j'ai compris la différence avec ici. Ici nos Vétérants sont oubliés. C'est certain, ici, nous n'avons pas connu la guerre. En Europe, et principalement en Normandie, ils se souviennent, il y a plus de drapeau Canadien la bas, qu'ici je pense Quand tu mentionne que tu es Canadien, les gens deviennent tellement amical, même les jeunes se sont vue inculqués cette reconnaissance. Je suis allé visiter les Bunkers, facile à comprendre que ces soldats n'aient euent aucunes chances.
Hypcop
Merci les gars, je trouve toujours ça intérressant ces histoires là.
La tante de ma mère était une infirmière pendant la 2ème, et quand elle est décédée, ma mère a hérité de ses médailles et de ses photos. Hypcop, la Normandie est vraiment émouvante, j'y étais cet été pour une deuxième fois et c'est toujours spécial.
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