bush pilot a écrit:C-GBVK a écrit:Bonjour
Pour les pilotes qui vole sur un Pégasaire flotteur
Combien de pilotes arrivent a faire sortir les slats pendand la descente en approche ?
Un descente (habituelle) les slats ne sortent pas elle sorte , juste lorsque la vitesse est suffisament basse , voir trés proche du contact avec l'eau et souvent l'avion rentre au moteur slat rentré .
Dans ma jeunesse je volais avec un Morane MS 886 pour sortir les slats en approche il fallait réduire suffisament la vitesse une fois les slats sortie , on peut majorer la vitesse d'approche , l'avantage sur roue c'est une approche plus cabré , mais sur flotteur c'est pas aussi remarquable ,au décollage c'est avantageux .
André
André ,
puisque j'ai beaucoup de respect pour toi, je veut te dire le plus poliment du monde , que tu te trompe sur ce coup la.
sur le ms 886 peut être , mais sur le lévitation 4 et le pégazair , l'orsquon amerri , les slats sont sortie . escequ on peut amerrir les slats rentré , ? je sais pas encore , mais pour avoir volé pas mal a bord du lévitation et pas beaucoup encore en pégazair , je peut tassurer qu il atterrie les slats ouvertes.
C'est possible de faire ouvrir les slats en approche, mais il faut réduire considérablement la vitesse et mettre l'avion à plat. C'est pas très confortable et ça ne se conclue généralement pas par un bel atterrissage.
Sur flottes, je descends à 65 mph throttle idle avec un piqué assez prononcé. C'est vraiment à l'arrondi ou même un peu plus tard, dépendamment de ma vitesse que les slats vont s'ouvrir.
À basse vitesse, après l'arrondi, pas besoin de tirer sur le manche et cabrer la machine pour que les slats s'ouvrent.
Sur cette vidéo, vers 3 minutes 45, je fais un premier atterrissage avec un angle de descente assez prononcé. Les slats s'ouvrent à quelques secondes du contact avec la surface.
Vers 4 minutes 55, je prépare un atterrissage glassy water. Je pique, les slats sont fermées et à mi-hauteur des arbres, je mets l'avion à plat. Les slats s'ouvrent, je maintiens un peu de throttle, et je pourrais faire un mozusse de boutte les slats ouvertes comme ça en maintenant un peu de throttle.
Les premières fois que je rentrais sur roues sur la petite piste de Michel Lequin, j'avais des crampes au sphincter tellement je trouvais que la piste était courte. Avec un peu plus d'expérience aujourd'hui, (250 heures, mais 846 atterrissages (j'en ai fait des sauts de crapauds!)), je me débarrasse de ma vitesse dans le circuit, je pique doucement, je cabre juste ce qu'il faut pour ouvrir les slats et je rentre sur un 10 cents si nécessaire.
J'ai fait mon permis de loisir sur ma machine, je n'ai jamais rien volé d'autre qu'un Pegazair. Très difficile pour moi de faire des comparaisons. Par contre, je peux vous dire que pour apprendre à voler, ce n'est sûrement pas la machine la plus facile. Tail wheel, STOL, slats, commandes très sensibles, piste en asphalte... 25 heures de posés décollés n'ont pas suffit. Ma grosse difficulté à l'atterrissage, c'était d'atterrir! Dès que les roues touchaient le sol, je redécollais sans le vouloir. Pratique, pratique et encore de la pratique.
Hugues