Pilotes Québec

40 ans aujourdhui.....Voici une photo "polaroid" que j,ai prise 20 minutes apres mon atterrissage sur la 20 à Montmagny en 1979. À voir la noirceur, les voitures étaient sur les lumières et ça pressais pour mettre ça à terre avec le peu de jour qui me restait. Ça à bien été mais avec queques cheveux blancs en plus. J'avais un Cherokee Warrior de chez Aérobec. On a barré la 20 le lendemain et les mécanos ont fais le reste.C'a s'oublie pas.

Incroyable. Bravo. de nuit en plus

Impressionnant

Louis

Bravo pour ton atterrissage comme ont dit sur la fesse.
Très impressionnant en effet.

Pierre C.

Je veux bien croire que ça ne s'oublie pas. Surtout à la noirceur (même au début de la noirceur). Est-ce que tu as eu d'autres atterrissages forcés après celui-là ? Bon, je sais, tu vas me dire que 'un' dans une vie, ça suffit ( mais c'est juste par curiosité)

Je n'ose pas imaginer un atterrissage d'urgence de nuit. Au début août, j'ai volé de nuit, sans lune, et je n'ai pas beaucoup aimé ça (pourtant j'aime bien voler de nuit même si le niveau de stress, disons de concentration, est plus élevé). Je n'arrivais pas du tout à distinguer les champs des routes, des forêts, des lacs. C'est sûr qu'il y a les lumières au sol qui aident mais même là, c'était difficile à savoir. En plus, quand on vole en été les courroies pour le rotor travaillent beaucoup plus vu la chaleur et quand ça arrive, la lampe témoin du clutch s'allume pour quelques secondes. Mon mari et moi étions tellement concentrés sur notre environnement que, quand le témoin s'est allumé, on a cru qu'on mourrait de peur

Martine

Zico a écrit:Je veux bien croire que ça ne s'oublie pas. Surtout à la noirceur (même au début de la noirceur). Est-ce que tu as eu d'autres atterrissages forcés après celui-là ? Bon, je sais, tu vas me dire que 'un' dans une vie, ça suffit ( mais c'est juste par curiosité)

Je n'ose pas imaginer un atterrissage d'urgence de nuit. Au début août, j'ai volé de nuit, sans lune, et je n'ai pas beaucoup aimé ça (pourtant j'aime bien voler de nuit même si le niveau de stress, disons de concentration, est plus élevé). Je n'arrivais pas du tout à distinguer les champs des routes, des forêts, des lacs. C'est sûr qu'il y a les lumières au sol qui aident mais même là, c'était difficile à savoir. En plus, quand on vole en été les courroies pour le rotor travaillent beaucoup plus vu la chaleur et quand ça arrive, la lampe témoin du clutch s'allume pour quelques secondes. Mon mari et moi étions tellement concentrés sur notre environnement que, quand le témoin s'est allumé, on a cru qu'on mourrait de peur

Martine

Non,pas eu d autres épreuves après cela. Pour la clarté, c était entre chien et loup comme on dit. Heureusement,ce n était pas encore là noirceur totale.Sans cela, je crois bien qu il n y aurais pas eu de photo.........!,,,,,