Pilotes Québec

Bonjour, je suis nouveau sur ce forum/monde de l'aviation/et je commence ma formation de pilote privé. Je vous fait un petit résumer j'ai 30 ans cela fait 12 ans que je travail comme mineur mais l'aviation ma toujours attiré.
en 2017 je me suis payer une expérience de Pilote d'un jour avec l'école d'aviation près de chez moi j'ai accrocher tout de suite je voulais faire mon cour de pilote privé et tout mais après calcule je me suis dit que sa venais trop chère (le cour/achat ou location d'un avion etc.)je me suis résigner et mis sa de coté jusqu'à tout récemment suite a un accident de travail en juillet 2020 qui ma fait faire une remise en question de mon choix de carrière. De retour au travail depuis plusieurs mois je me cherchais un plan B car je me vois pas continuer à la mine pour question de santé futur. c'est la que mon souvenir de l'expérience de pilote d'un jour met revenu a l'idée et si j'allais faire mon cour de pilote privé et ensuite commercial pour faire un changement de carrière au lieu d'aller a 3km sous terre j'irais a 3km+ dans les airs. Donc je me suis inscrit a l'école d'aviation il y a quelque semaine je suis maintenant rendu a 2h de vole en date d'aujourd'hui j'adore sa je trip mais j'ai un petit problème de la que j'ai besoin de vos conseil de vos expérience personnel s'il vous plait! Mon problème est que j'ai des nausée en vole au début tout va bien au décollage on vole tout vas bien mais après 30-45 min de manœuvre mise en palier roulis a droite a gauche etc. je commence les nausées et elle ne parte pas avant plusieurs heures elle diminue après l'atterrissage. je me demandais est ce que le corps s'habitue a cela ou si vous aviez pas des truc a faire ou ne pas faire avant un vole pour aider cela car je ne veux pas me rendre a prendre des médicaments contre cela et je ne voudrais pas voir partir mon rêve de pilote commercial pour des nausées.

Merci de me conseiller et si vous avez d'autre conseils même si il ne son pas relier au nausée je suis preneur !

Pour le mal de coeur, fais toi en pas trop pour ça. Le début de la formation avec toutes ces manoeuvres est beaucoup plus tof sur la nausée qu'un vol normal. Voler les ailes droites avec la gravité en bas, c'est moins exigeant sur le mal de coeur. Essaye un jour de faire un 45 minutes "normal" pour apprendre mettons un peu de navigation. Tu devrai avoir si ton mal de coeur disparait par enchantement.

Parce que a vriller et spiraler, prendre des G d'un bord ou de l'autre, c'est certain que même après plusieurs heures de vols, ça me rends encore pas bien.

Neuf astronautes sur dix dégobillent quand ils passent de plusieurs G en montée à zéro en arrivant dans l'espace. Pi ils sont bien contents d'avoir une petite pilule pour calmer ça. Ils ont un code d'éthique: jamais tu sauras lequel a dégobiller.

Apprend bien l principe qui nous donne le mal de coeur. Le pourquoi du comment. Ça devrait se trouver sur internet. Le système vestibulaire. Les petits poils dans l'oreille. Nos capteurs dans le reste du corps ( yeux-vision, muscles ). Le pourquoi qu'on est fait pour ça ( les capteurs dans l'oreille hyper sensible pour nous porter à vomir quand l'homme mangeait de quoi de poison, du temps que tout n'était pas emballé et étiqueté avec des dates de meilleur avant )

Savoir tout ça ne diminue pas l'effet, mais ça rassure un peu de savoir que tout ça est normal et à contribué à la survie de l'homme. Ca rend le vomi presque intéressant

Louis

Ma conjointe n’aime pas beaucoup voler dans la turbulence. Le pire est quand il y a des cumulus causés par les thermales en plein millieu de journée. Conseil: Fait tes vols d’entrainement très tôt avant 10:00 hrs ou après 18:00 heures. Le soleil qui plombe sur le sol cause ces thermales. Une fois la license obtenue, il est relativement facile de monter en haut de ces cumulus pour les vols voyages.

Après un certain temps on s’habitue. Je me rappelle un retour de floride pendant lequel j’ai eu de la turbulence importante pendant 6-7 heures, tout le long de la côte... pas eu de trouble avec ça ni pour moi ou mon passager. Certaines personnes sont plus sensible à ça.

Quand j’emmène des personnes faire un tour, je prévois toujours une option de retourner à l’aéroport au cas où une personne ne se sentirait pas bien. J’évite aussi de faire des manoeuvres qui pourrait inquièter mes passagers.

Bonne chance!

Yves

yvesg a écrit: Une fois la license obtenue, il est relativement facile de monter en haut de ces cumulus pour les vols voyages.
Bonne chance!
Yves

Tout ce qui est écrit comme conseils est plus que vrai.

Par contre, Monter par dessus les cumulus pour avoir un vol paisible n'est vraiment pas facile du tout.
Pour un C-150-172 et même un C-185 sur flottes mettons, ...c'est rien de facile, des fois le top des nuages sera dans les 6000-8000 pds et ils sont bourgeonnants.
Alors en vol on va devoir encore tenter de grimper encore plus, avec un gros 150-200 pds minutes, le moteur qui chauffe, proche du décrochage., long et pénible...

A 30 deg , plusieurs machines en auront pleins leur casse de juste se rendre à 6000-7000 pds.
Puis il y a aussi le risque de se faire poigner quasiment '' On top '' si les trous se referment discrètement..

Le conseil est bon, mais il n'est rien de facile et faisable pour une multitudes de raisons , pour plusieurs machines'' Ordinaires '' ...

Bob

Bonjour,

Ayant déjà été instructeur, le premier conseil est de toujours aller piloter avec l'estomac un peut remplis, au minimum.

C'est faux de penser que l'estomac vide! "Je ne serais pas malade! Car, je n'aurais rien à vomir! "

C'est tout le contraire! Si l'estomac est vide, l' (es) acide (s) gastrique (s) et/où la bile se promène dans toutes les directions, et c'est la même chose pour l'estomac!

Ça, c'est un facteur pouvant contribuer au noser?

Ceci s'applique, au (x) passager (s), aussi.

Mes deux cents.

Jacques

Il y a beaucoup de facteurs qui contribuent à cette situation.
Le stress, l'anxiété de performance, la déshydratation, la température extérieure et intérieure etc.
Plus il fait chaud et plus tu enchaine les manoeuvres plus le risque est grand.
Pour t'aider, en faire moins à la fois et bien les faire (au meilleur de tes capacités) et si ca va mal ne t'acharne pas et si l'instructeur insiste, refuse, va ton rythme pas au sien.
Bien s'hydrater respirer par le nez et y aller si possible comme l'indique Yvesg en dehors de heures de grandes chaleur et turbulences.
Le facteur temps devrait à la longue devrait aider.
Bons vols!
Pierre

Merci tout le monde sa ma remonté le moral je croyais devoir faire une croix sur ce rêve!
j'ai un vole demain a 8h et un autre mardi a 10h je vais mettre sa en pratique et mes futurs vole seront le matin ou le soir comme vous avez conseiller

Par contre, faut demeurer à l'écoute de tes sensations.
Si après une dizaine d'heures avec un brin de brassage, tu vires encore au vert.
Tu est bien mieux de retourner sous terre.

Tsé,, une licence commerciale va te prendre 2-3 années et te couter au moins $50,000

La nervosité, c'est rien en formation.

Quand tu piloteras un King-air et que tu auras la charge d'une load de clients, plus le freight, plus le calcul du W & B et de l'essence.
Et dealer avec une météo de marde ou tu vas devoir choisir de faire coucher tes clients
dans le portique de l’aéroport fermé, d'une ville au nord de l'Ontario que tu n'avais jamais entendu le nom auparavent,
..ou bien tu décolles avec un genre de co-pilote qui arrive du haut de ses 250 heures
chemise super blanche pas froissée une miette, là tu va avoir de quoi stresser !
Alors, ce ne sera pas le temps de remplir ton beau digital dash de dégobille à cause de 3-4 turbulences sévères au décollage .

Bob
( Qui aime bien mettre les choses au pire, mais toujours avec un brin de vérité ) ...

Tu devrais essayer ça

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Bob Cadi a écrit:chemise super blanche pas froissée une miette, là tu va avoir de quoi stresser !

Bob

Moi ça m'arrivais aussi au début.
J'ai commencé ma formation après avoir eu des problèmes gastrique. Les antibio me donner la nause avant même de décoller !
Je prenais des gravols au gingembre, ceux sans somnolence.
Aussi, mâcher une gommes ça m'aidais.
Et comme mentionné plus haut, l'anxiété et le stress ça aide vraiment pas.
Laisse toi du temps aussi, ça va ce placer

Merci tout le monde je suis maintenant rendu a 12h de vols mes nausée on beaucoup diminuer maintenant j'en aie seulement quand il y a de nombreuse turbulence pendant tout et sinon après plusieurs vrille mais elle reparte très rapidement! comme vous disiez faut juste se laisser le temps et relaxer!

Louis_greniier a écrit:Pour le mal de coeur, fais toi en pas trop pour ça. Le début de la formation avec toutes ces manoeuvres est beaucoup plus tof sur la nausée qu'un vol normal. Voler les ailes droites avec la gravité en bas, c'est moins exigeant sur le mal de coeur. Essaye un jour de faire un 45 minutes "normal" pour apprendre mettons un peu de navigation. Tu devrai avoir si ton mal de coeur disparait par enchantement.

Parce que a vriller et spiraler, prendre des G d'un bord ou de l'autre, c'est certain que même après plusieurs heures de vols, ça me rends encore pas bien.

Neuf astronautes sur dix dégobillent quand ils passent de plusieurs G en montée à zéro en arrivant dans l'espace. Pi ils sont bien contents d'avoir une petite pilule pour calmer ça. Ils ont un code d'éthique: jamais tu sauras lequel a dégobiller.

Apprend bien l principe qui nous donne le mal de coeur. Le pourquoi du comment. Ça devrait se trouver sur internet. Le système vestibulaire. Les petits poils dans l'oreille. Nos capteurs dans le reste du corps ( yeux-vision, muscles ) meilleure mutuelles entreprise. Le pourquoi qu'on est fait pour ça ( les capteurs dans l'oreille hyper sensible pour nous porter à vomir quand l'homme mangeait de quoi de poison, du temps que tout n'était pas emballé et étiqueté avec des dates de meilleur avant )

Savoir tout ça ne diminue pas l'effet, mais ça rassure un peu de savoir que tout ça est normal et à contribué à la survie de l'homme. Ca rend le vomi presque intéressant

Louis

Vous avez tout à fait raison. Et puis, c'est une question d'habitude.