abud a écrit:120140415 a écrit:Merci André !
Ça a plein de bon sens avec de l'huile conventionnelle 15W50, 20W50 ou mieux, de la W100. Mais ici on parle de la 2F (qui devrait déjà être pas mal collante même chaude). Même raisonnement tout de même ?
Pierre
Je crois que c'est André Charbonneau à St-Jean qui m'avait expliqué que sur les cl-415, ils changeaient pour de l'huile d'entreposage dès qu'un vol n'était pas prévu pour le lendemain... C'est dire à quel point ces moteurs étaient "chouchoutés".
Salut Pierre,
est- il possible que pour l`huile du CL-415 serait celle du CL-215 ?
Martin
Effectivement - je viens de corriger !!! MERCI !
Désolé pour le "slapsus"...
L'idée, c'est que la personne qui était responsable de gérer l'utilisation de nos taxes pour garder ces avions en parfait état de vol jugeait que le temps des mécaniciens représentait des coûts moins importants que le gain espéré de cette pratique en économie d'overhaul et en fiabilité. Bon, peut-être qu'il y avait aussi d'autres motivations mais ça m'avait été communiqué comme une opération vraiment de routine, bien rôdée et systématique. Après tout, à partir du moment où une équipe de mécaniciens dédiés à ces appareils était de toute façon disponible...
Ceux qui voudraient vérifier l'histoire pourraient essayer d'en parler à son fils, Yves Charbonneau (chez BL). Son enfance a forcément été bercée par l'immense bagage en histoires d'aviation que son père a vécu, notamment en allant récupérer des épaves dans des coins perdus (des chargements d'or, des payes de mines, des avions qu'il a ramené avec un seul gouvernail de profondeur, un moteur dont le casing en magnesium avaient littéralement disparu parce que laissé non-rincé et séché quelques heures après un bain en eau de mer....). Il y avait aussi l'histoire d'une négociation autour d'un gyro usagé... Sacré bonhomme...
(et chic type
)
Pierre