colorado_zq8 a écrit:parlon de lac....
sa prend un lac de quelle longueur pour atterrir et décoller sécuritairement?
je sais sa dépend de la machine mais règle générale??????
Ya un lac près de chez moi qui fait 1.3km de long mais vraiment pas large genre 125 a 160 pieds. il est sur une montagne donc au bout du lac té pas face a une montagne
comme c'est sur le long si le vent n'est pas bon sa doit allonger la distance de décollage pas mal, un lac en rond tas plus d'option
Salut.
Dans un premier temps, il n'y a pas et jamais de règle générale sur flotte.
Sur flotteurs, on doit '' Généralement '' reconnaitre que la majorité des machines sont rendues à leurs limites.
Car
peu ou pratiquement pas de machines ont étés conçues en premier rôle pour aller sur flotte.
Donc par ce fait de compromis, la sous-motorisation est le point commun aux machines sur flottes puis suivi de près par le manque de portance
au détriment de la vitesse. Oui quelques exceptions, genre un C-185, ou quelques autres machines aux stéroides, mais quand même et certains CA
qui ont été conçus en tenant compte d'une future utilisation sur flottes.
Sur un même lac, la distance au décollage peut facilement doubler selon, les vents, la température, l'altitude densité, la performance du moteur/hélice,
le poids de la charge et de la surcharge embarquée, le masse et centrage du moment, le type de flotte installé sur l'appareil, le type de STOL kit s'il y a lieu.
Le sens du lac selon la hauteur des obstacles. La dextérité et l'expérience et certains trucs du pilote va y faire pour beaucoup sur un décollage possible ou court sur flotte. La bonne coordination d'un décollage sur 1 flotteur, la mise des volets, le tweek du pitch variable lors de la course au décollage...la méthode choisie pour débuter la course au décollage... et encore d'autres facteurs qui pourraient m''échapper.
Sur roues, on ne se rapproche vraiment pas d'un besoin d'avoir sa machine en main et on est très loin des limites
de l'appareil. Sur flottes, il faut toujours être sur la coche tant au niveau mécanique, humain qu’environnementalement et souvent même un décollage normal,
va quand même se faire proche des limites de la machine et du pilote.
Et selon ma courte expérience, c'est une constante pour un futur ou nouveau flotteux d'avoir en vue un lac
vraiment près des limites associé à une machine non performante et souhaitée amphibie. hihihi ! .
Pas facile les flottes et le choix de machine car les flottes sont déjà un compromis.
Maintenant il faut faire un compromis avec ce compromis.
On voudrais tous avoir les performances au décollage d'un Super-cub, la capacité de charge d'un Beaver, la vitesse d'un 185 et la consommation
d'un 150...mais c'est pas la réalité et de loin.
J'ai souvent pensé à inventer un mécaniste de rigging de flotte qui aurait une assiette variable
Genre 6-7 degrés pour le décollage puis venir à 1-3 degrés pour le cruise, ce genre de flotte ferait décoller plus court une machine qui par la suite pourrait
augmenter substantiellement la vitesse de cruise en réduisant la drag occasionnée par l'angle d'ouverture des flottes.
Tout se ferait dans la patte arrière qui s'allongerait et se raccourcirait selon des paramètres définis pour la machine.
Il y a une certaine complexité a figurer avec les flying wires et les câbles reliant les dérives, car en y changeant la longueur des pattes
arrières, ces mesures changent et doivent être elles aussi subir des ajustement progressifs.
Mais shui rendu un peu trop vieux pour mettre ce projet en marche quoi que j'en avait déjà installé un système fonctionnel sur mon autre caddy
et j'en avait prouvé l'efficacité. Un petit kit de cylindre linéaire électrique sur le haut de la patte fait facilement la job, des limits switchs de max haut et max bas
et un mécanisme de cam sur les câbles et le tour était joué
Possible qu'un moment donné, je fasse breveté l'idée, puis que j'aille gosser chez Wipaire ou chez Aérocet.
Bob