Aéroventure Casey

[Alain T]

Quelqu'un y va en fin de semaine?

Je prévois partir de Neuville en après-midi vendredi et revenir samedi après-midi.

Espérons de la belle météo!

Au plaisir de vous croiser là bas!

[DeltaMike]

J'y serai pour tout le weekend. Toutefois, la météo semble de pas trop collaborer à certains moments.

[Alain T]

Ouin, ça semble plus ou moins certain.

On va espérer!

[Alain T]

Je ne sais pas si vous avez vu passer ça, mais le Camp de Base Casey est à vendre, incluant le bail l'aérodrome et sur Facebook il parlait de 2 ans le contrat de la SOPFIM.

Si des trippeux sont intéressé...

https://www.lenouvelliste.ca/actualites ... 2QWM5TAH4/

«Très humblement, je n’ai plus le temps de m’en occuper de la manière dont le projet a besoin pour son développement futur. Ça prend beaucoup de mon temps et l’énergie que ça demande, que j’ai réussi à mettre pendant cinq ans, je ne suis plus en mesure de la mettre», lance d’entrée de jeu le propriétaire Naor Cohen, qui rappelle du même souffle qu’il a une autre entreprise à temps plein.

La décision de vendre ses installations ne s’est pas prise sans un pincement au cœur et, surtout, c’est une décision mijotée pendant plusieurs mois.

«Ma femme et moi, on a pris cette décision il y a à peu près un an et c’est juste là que j’ai eu le cœur de l’annoncer publiquement. C’est un projet qui me tient à cœur, Casey me tient à cœur. Je ne sais pas si vous le savez, mais on l’a bâti avec des bénévoles de nos propres mains. Il y a eu beaucoup de passion et d’énergie qui ont été mises là-dedans. Donc oui, de vendre me fait mal au cœur, mais en même temps, c’est un choix», a-t-il expliqué.
«Le plus bas qu’on pourrait demander»

Il faut dire que, depuis son arrivée, l’actuel propriétaire a transformé le site en plein cœur de la forêt en un projet récréotouristique aux abords d’une piste d’atterrissage.

Il ne veut pas parler publiquement du prix des installations, mais il précise au passage que le prix demandé n’est pas faramineux, «c’est une valeur qui représente la valeur la plus basse qu’on pourrait demander pour ça». Il entend bien choisir le ou les prochains propriétaires pour que le projet puisse poursuivre son développement.

«On veut vendre rapidement, mais on ne veut pas vendre à n’importe qui non plus», précise-t-il.

Ce qu’il souhaite par-dessus tout, c’est de voir le «développement complet du projet», c’est-à-dire un aérodrome en activité pendant toute la saison estivale et que le site opère un relais de motoneige fonctionnel en hiver.